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© 2021 - Ingrid von Wantoch Rekowski - Lucilia Caesar
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La vergine dei dolori


Oratorio d’Alessandro Scarlatti

La vergine dei dolori Opéra Project école d'art dramatique

La vergine dei dolori

Oratorio d’Alessandro Scarlatti

Seize acteurs constituent un cadre baroque valorisant ainsi quatre chanteurs qui interprètent la célèbre lamentation d’Alessandro Scarlatti. La scénographie confronte la musique à la composition picturale, l’action silencieuse à la voix chantée. Le chef d’orchestre apparaît comme le guide d’une peinture animée. Le jeu, toujours ambigüe et changeant, se concentre sur la révélation de l’inconscient des personnages, leurs motivations, les secrets de leurs âmes et de leurs relations. Il déstabilise ainsi l’unité lyrique et présente une polyphonie d’associations.

Crédits

Direction musicale : Rinaldo Alessandrini
Mise en scéne : Ingrid von Wantoch Rekowski
Scénographie : Nicola Rubertelli
Costumes : Christophe Pidré
Lumières : Mario d’Angio
Chanteurs : Romina Basso (mezzo-soprano), Sara Mingardo (contralto), Anna Simboli (soprano), Daniele Zanfardino (ténor) rajouter 1ère distribution
Performeurs : Mélanie Bauer, Liza Baumann, Emilie Bobillot, Alain Borek, Ludovic Chazaud, Baptiste Coustenoble, Marion Duval, Baptiste Cillieron, Stella Giuliani, Aurore Jecker, Camille Mermet, Aline Papin, Ludovic Payet, Lucie Rausis, Lola Riccaboni, Cédric Simon
Orchestre : Le Concerto Italiano

 

Production : Teatro di San Carlo (Naples), La Monnaie / De Munt (Bruxelles), l’Opéra de Bordeaux,  La Manufacture – Haute École des Arts de la Scène (Lausanne)

Presse

Par sa subtilité et sa simplicité, le dispositif scénique conçu par IvWR invite à se concentrer sur la musique. Et quelle!

(Sud ouest, Catherine Darfay, 11/07/08)

 

Et puisqu’il s’agit bel et bien d’un spectacle lyrique, qui joue de l’ambiguité de la frontière entre le profane et le sacré, IvWR a conçu une mise en scène à la façon des peintures du XVIII et des rétables baroques, avec la partition des acteurs de la Manufacture-Lausanne. De quoi clore la saison lyrique avec un bijou inattendu…

(Sud ouest, Catherine Darfay, 09/07/08)

 

La scénographie superbe et spectaculaire d’Ingrid von Wantoch Rekowski… Chaque image est un vrai tableau ancien de toute beauté, les couleurs sont d’un suprême raffinement.

(Libre Belgique, Guy Duplat, 31/03/07)

 

La metteuse en scène Ingrid von Wantoch Rekowski s’est emparée et de la partition et de l’univers pictural, selon son art inimitable d’explorer les tensions entre les affects des uns et des autres, les champs mouvants entre la perception du verbe, celle de la musique, par le truchement de la peinture. Les références sont perverties en douceur, parfois iconoclastes : ces poses alanguies entre douleur et extase, ces moues lascives, ces contorsions en déséquilibre, ces doigts vengeurs levés vers le ciel, ce tibia de squelette qui se balance… La rhétorique du sacré et de ses paradoxes.

(Le Soir, Michèle Friche, 02/04/07)

 

Inspirée, facétieuse, visionnaire, Ingrid von Wantoch Rekowski s’est toujours réjouie de transformer en objet théâtral – selon un « théâtre polyphonique et pluridisciplinaire » – ce qui, justement, n’est pas destiné au théâtre : une messe, un tableau, une étude pour piano. Et chacune de ses inventions fait mouche.

(Le Vif Express, Martine Dumont-Mergay, 23/03/07)

 

Proprio la metateatralità insita in questa grande musica può aver suggerito a Ingrid von Wantoch Rekowski l’idea per la sua affascinante realizzazione sulle scene del Politeama.

(Il Mattino, Giovanni Carli Ballola, 01/03/03)

 

L’utilizzo del contrappunto conferisce all’intera opera grande drammaticità e compostezza.

(Cronache di Napoli, 8/02/03)

 

Più che di messa in scena vera e propria parlei di un clima evocativo, solenne, in cui sono stati ridotti al minimo i movimenti e l’azione.

(Umberto Garberini, 26/02/03)

Dates / Salles

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La vergine dei dolori - Oratorio by Alessandro Scarlatti

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